Mesurer ce qui compte vraiment
Mesurer ce qui compte vraiment. Mesurer ce que les citoyens vivent au quotidien plutôt que ce qu’ils produisent.
Le bonheur constitue une aspiration fondamentale de chacun.e et recouvre des domaines larges et subjectifs. Mais le bonheur c’est aussi le collectif et le territoire.
Le PIB est aujourd’hui l’outil unique qui permet de mesurer « vitalité et richesse » d’un territoire. Il nous faut réinventer ensemble cette vision dans l’objectif de créer des indicateurs qui montreront ce à quoi nous sommes attachés et qui guideront les politiques locales.
Une méthode de recherche-action pour mettre en dialogue
les marqueurs du Bonheur Local et les enjeux d’habitabilité territoriale
Immersion dans le projet pour la création d'indicateurs de Bonheur Local Brut
Déconstruire les grandes représentations et principes de développement actuels pour mieux se situer et coconstruire des alternatives locales, démocratiques et durables, appuyées sur les singularités du territoire.
Accompagnée pendant 2 ans par Gabriel Colletis, économiste au LEREPS (Toulouse 1), l’équipe-projet a alterné entre des temps de débat sur les notions qui chapeautent le modèle de développement actuel et des temps d’écoute et d’échanges avec les habitant.e.s pour comprendre ce qui contribue au bonheur collectif d’après celles et ceux qui le pratiquent.
Ce travail s’est concrétisé par la rédaction collective d’un Glossaire du Bonheur Local Brut, lequel pose et expose de façon transparente les conventions sur lesquelles s’appuie le projet, servant ainsi de base de dialogue.
Pourquoi ce nom de Bonheur Local Brut ?
BONHEUR : pour le remettre au coeur de la cible des actions collective et de l’action publique, entendu dans son sens collectif.
LOCAL : parce que c’est dans les relations de confiance, d’interconnaissance et de proximité tant sociales qu’environnementales que les possibilités d’actions coordonnées sont possibles.
BRUT : et non pas net, car le sentiment de bien-être revient à chacune et chacun, l’action collective ayant pour seule ambition possible et objectivable d’en faciliter les conditions
Sur le chemin du Bonheur Local Brut…
…nous ne sommes pas seuls : un réseau de partenaires qui travaillent les questions de transition et de bien-vivre, bien-être, de changement de modèle…
Cap bien-vivre et le carrefour des indicateurs : des ressources précieuses sur les questions d’indicateurs prenant en compte justice sociale et soutenabilité.
Un lien tissé avec le laboratoire LISST de Toulouse 2 autour du bien-vivre territorial.
La participation au programme REBONDS de la 27° Région, une recherche-action sur les changements de paradigme du développement économique
…concrètement : le Bonheur Local Brut et la contractualisation
Des indicateurs pour faire dialoguer les enjeux territoriaux et les cadres de références nationaux :
- un travail engagé autour du Contrat d’Objectif territorial de l’Ademe et du volet économie circulaire en particulier
- le lien avec la Boussole de la transition écologique (Cerema) – travail en chantier
CARTOGRAPHIE POSITIVE DE TERRITOIRE
Les initiatives collectives pour les transitions, publiques comme privées, sont nombreuses sur le territoire.
Parfois méconnues ou menées de façon isolées, le premier objectif de la cartographie positive est de recenser et donner à voir les forces vives sur lesquelles le territoire peut compter.
Vous avez connaissance d’un projet, d’une démarche qui selon vous contribue au Bonheur Local ? Contactez-nous !
Pour plus d’informations et pour nous rejoindre, contacter Pauline KRUPKA